Avec le CJD, on a les moyens d’impacter positivement la vie des femmes, des hommes, de la planète
Innover, c’est gagner. Fort de cette conviction, le CJD ouvre de nouvelles voies, expérimente les plus récentes évolutions du monde de l’entreprise et incite ses membres à initier de nouvelles pratiques dans leurs entreprises : développement durable, RSE, agilité, économie de la fonctionnalité, alliances, bien-être des collaborateurs et collaboratrices, actions citoyennes…
Le « labo » du patronat. Le CJD est un agitateur. Un empêcheur de tourner en rond. Un laboratoire vivant où s’invente notre futur. Dans ses commissions, certains des plus grands bouleversements qui ont agité le monde de l’entreprise ont été expérimentés avant l’heure : les groupements d’employeurs, l’instance unique de représentation du personnel, la formation en alternance, la commande publique responsable ou encore l’annualisation du temps de travail…
Développement durable
Développement durable : un moteur de croissance. Le développement durable et la RSE constituent de formidables opportunités de développement.
C’est le sens de la Performance globale, méthode simple et originale développée par le CJD.
Elle accompagne les dirigeants et dirigeantes dans la construction d’une stratégie durable et responsable pour son entreprise grâce à de nombreux outils. L’expérimentation à tous les niveaux.
Le CJD confronte toujours ses idées à la réalité des territoires, des institutions et des personnes.
Nos idées deviennent des propositions lorsqu’elles ont été testées et validées par nos membres dans leurs entreprises.
Le mouvement lui-même expérimente en permanence de nouveaux fonctionnements pour conserver son dynamisme et sa capacité à anticiper.
Les réflexions menées au CJD sont toujours tournées vers l’action, elles doivent permettre aux membres d’innover et de tester concrètement de nouvelles pratiques dans leurs entreprises.
Mais au CJD, on dépasse la réflexion par le passage à l’acte afin de mettre en œuvre dans son entreprise les réflexions du mouvement et oser confronter ses pratiques à de nouvelles expérimentations.
Gouvernance partagée
Ainsi, notre section a choisi d’expérimenter un nouveau de mode de gouvernance : la gouvernance partagée. Composée d’une centaine de membres, la section est pilotée par un groupe de 7 co-président.e.s. Cette gouvernance partagée, en expérimentation sur un mandat, a permis d’élire un collectif afin d‘être en charge de l’animation de la section.
Tout ne repose pas sur une seule personne ou un binôme, et cela permet d’avoir une meilleure représentativité en termes de diversité de tous les adhérents tout en favorisant l’intelligence collective. Ce fonctionnement innovant favorise la responsabilité, l’engagement, les projets en lien direct avec les besoins des adhérents et les projets plus prospectifs.
Afin de constituer cette gouvernance partagée, les membres du CJD Montpellier ont cooptés une partie du groupe de co-président.e.s via une élection au suffrage universel direct et a élu l’autre partie grâce à une élection par consentement (appelée l’élection sans candidat et développée par l’Université du Nous). Cette élection sans candidat a permis l’élection de membres dont les qualités étaient alors ignorées de la majorité et a permis l’innovation.
Pépites
Les membres du CJD expérimentent sans cesse, au sein de notre mouvement et au sein de leurs entreprises, et ces expérimentations peuvent être une source d’inspiration pour les autres membres.
C’est pourquoi, les membres du CJD bénéficient d’une plateforme qui leur permet de découvrir les expérimentations à impact positif sur le territoire, les parties prenantes, la planète, etc, les “pépites”, d’autres JD de toute la France afin de s’en inspirer.
Chacune de ces expérimentations ont suivi une analyse qui a permis de définir leur réplicabilité, leur différenciation, leurs facteurs de succès, leurs impacts, etc.